Date of birth
13.03.1972, Tbilisi, Georgia.
EDUCATION:
1987-90 Tbilisi Fine Arts School, faculty of ceramics. 1990-96. Tbilisi State Academy of Fine Arts, faculty of graphic arts.
ARKAIM
Située dans l’Oural près de la ville de Chelyabinsk, l’antique cité d’Arkaim a
été découverte en 1987 et a été officiellement datée de 40 siècles ! Cette
zone de la Russie devait subir des travaux dans les années 90 pour construire
un barrage et ainsi abriter un immense réservoir d’eau afin de faciliter
l’irrigation de la région. Mais devant les multiples mystères de la cité
ancienne, les travaux ont été annulés afin de permettre aux archéologues
d’effectuer des fouilles en profondeur. Initialement prévu pour une durée
de 12 mois, le report des travaux a finalement été définitif, ce qui montre
l’importance de cette découverte. Les archéologues eux-mêmes n’en
reviennent pas, comme l’explique Gennady Zdanovich, un des responsables
de la première expédition dans la vallée d’Arkaim : « C’était absolument
irréel ; le projet de construction du bassin d’eau et du barrage, un projet de
plusieurs millions de dollars, a été complètement avorté. Cela prouve sans
conteste l’importance scientifique du site pour les responsables politiques ! ».
Loin d’avoir encore livré tous ses secrets, Arkaim est le théâtre de nouvelles
fouilles tout au long de cette année ; le président Poutine s’est même
déplacé en personne pour visiter les ruines de l’ancienne ville que l’on
estime contemporaine de Babylone et des premières cités égyptiennes ! La
question qui taraude la communauté des historiens et archéologues est
fascinante : quelle est donc la civilisation qui construisit Arkaim ?
Car l’architecture de la cité est saisissante de modernité, et ne ressemble
guère aux villages bâtis il y a 4000 ans. Les archéologues ont pu constater
que toutes les maisons étaient équipées pour résister aux intempéries et
aux tempêtes, mais aussi au feu, les murs étant imprégnés d’une substance
ignifugée... Ils assurent même que ces habitations présentent toutes les
« commodités modernes » : stockage de la nourriture reliée à un système
d’aération, eau potable avec puit souterrain pour chaque maison, fours et
ustensiles de cuisine évolués, réseau d’égouts très efficace... Une liste
incroyable qui prouve le savoir-faire de l’ancienne civilisation ayant vécu
dans cette région de l’Oural. Mais Arkaim n’est pas seulement une ville de
40 siècles idéalement construite, et le plus fascinant ne se voit que du ciel !
En effet, Arkaim a été bâti à la fois pour être une cité, mais aussi pour faire
office de temple, et d’observatoire astronomique ! L’architecture choisie
par les bâtisseurs inconnus est intrigante, puisqu’elle consiste à former
d’énormes cercles concentriques. « Un vol en hélicoptère au-dessus
d’Arkaim procure une sensation incroyable. Les énormes cercles
concentriques disséminés dans la vallée sont clairement visibles. » confirme
le scientifique russe Vadim Chernobrovy, avant de s’interroger sur les
mobiles de l’ancien peuple.
« La ville et ses alentours sont uniformément
englobés dans ces cercles.
Source
ARKAIM Le Stonehenge russe
Des images et photos d'Arkaim, Google images
Recherch de « arkaim » sur Google Images
http://bulleforum.net/la-cite-d-arkaim-en-russie-t4467.html
Origines de la Russie |
---|
Jusqu’au IXe siècle, les informations disponibles sont assez confuses :
nous ne trouvons que très peu de détails sur les ancêtres des Russes.
Avant Jésus-Christ, seuls les Scythes, en venant commercer avec les habitants du nord de la mer Noire, font mention de la Russie.
Durant les six premiers siècles, nous trouvons dans les steppes russes, d’abord, les Sarmates et les Goths qui sont, au Ve siècle, chassés par les Huns qui déferleront bientôt sur nos régions occidentales.
En réalité, ces envahisseurs rencontrèrent dans les vastes plaines des tribus slaves parmi lesquelles les Slaves de l’Est deviendront, plus tard, les Russes.
Ce sont donc les Scandinaves qui vont les premiers pénétrer le territoire et y régner.
C’est à partir du IXe siècle que ceux que l’on nomme les Vikings, ou plutôt les Varègues de ce côté-ci, vont se familiariser avec ce nouvel espace. Contrairement à l’Ouest, il n’y a guère de richesses à piller. Ils vont donc plutôt, à mesure de leurs découvertes, fonder des comptoirs commerciaux à partir des communautés slaves qu’ils rencontrent.
Les Varègues finissent par descendre le Dniepr jusqu’à la mer Noire. ("route des Varègues aux Grecs").
Et donc aux abords de Constantinople, les Varègues, retrouvent leur instinct pirate et tentent en 860 une expédition contre Constantinople.
Les vieilles chroniques russes (largement postérieures aux événements qu’elles relatent, il est vrai) nous parlent des Vikings venant sur les bords du Dniepr.
Ainsi, en 862, apparaît Rurik personnage assez légendaire, qui s’installe à Novgorod et donnera naissance à la dynastie qui porte son nom.
La théorie normaniste avance une origine scandinave de la fondation du premier Etat russe en s’appuyant notamment sur l’origine scandinave des premiers Princes (Rurik, Sinéus, Truvor).
De plus, selon La Chronique de Nestor, la plus ancienne source historique russe, ce sont les Slaves eux-mêmes, incapables de s’unir, qui demandèrent à un chef étranger de les gouverner : "Nos terres sont vastes et riches mais elles ne connaissent pas l’ordre.
Venez donc régner et gouverner notre pays…", faisant ainsi du chef normand Rurik le maître de Novgorod.
Bientôt, un autre prince varègue, descendant de Rurik, viendra s’installer àKiev. dès lors, Novgorod et Kiev domineront cette première période connue de l’Histoire de Russie jusqu’à l’invasion tatar-mongole, tout cela bien entendu dans une succession de querelles entre les divers princes.
Il fallait à la Russie deux siècles et demi pour que s’effaçât la présence mongole. Ensuite, quand la horde asiatique disparut, commença vraiment le rôle de Moscou.
L’unification de la Russie va prendre corps avec Ivan I Kalita et ses successeurs où apparaît bientôt la puissante figure d’Ivan III le Grand. Avec lui, l’autorité moscovite s’affirme, et le tsarisme effectif fait sa première apparition pour se concrétiser sous le règne d’Ivan IV le Terrible qui se proclame Tsar de toutes les Russies et affirme les ambitions de son empire en même temps que sa suprématie.
Précisions successoralesSelon une habitude scandinave la succession au trône est héréditaire mais s’obtient par une constitution coutumière du type sénatorial :
De plus, les divers princes de la famille de Rurik ne reçoivent qu’à titre provisoire les terres (principautés ou grandes-principautés), dont ils sont titulaires.
Aussi, à chaque mort de souverain, voit-on s’opérer un changement de titres.
Les plus âgés se rapprochent ainsi de la grande-principauté de Kiev, c’est à dire du trône qui a la suprématie sur tous les autres princes de la descendance de Rurik. Néanmoins, cette institution était fréquemment battue en brèche car elle n’était pas appuyée sur une législation écrite et relevait de la simple coutume.
Les prétendants au trône invoquaient fréquemment, pour s’en débarrasser, l’un des arguments suivants :
Donc, pratiquement, la force devait l’emporter sur le droit non écrit et finissait par provoquer à chaque succession un chaos dynastique des plus désastreux. A la faveur de ces difficultés dynastiques on voyait chaque membre de la famille défendre âprement son otchina (patrimoine), c’est-à-dire "non le droit d’hériter des terres paternelles mais de la place que sa naissance lui confère dans la chaîne des princes". |
Dynastie Rurikide |
-Rurik I 861-874 (né probablement en 800, en Frise, fils de Haffdarne Harald, issu de la maison royale de Skoldung en Danemark, épouse Efanda, sa cousine), filleul de l’empereur Louis I le Pieux*.
Son frère Harald, devenu chrétien, reçoit de l’empereur le fief de Rüstringen (Frise). Rurik hérite de cette terre peu de temps après. En 843, au traité de Verdun, il perd son fief dévolu à Lothaire, fils et successeur de Louis I.En 845, devenu pirate, il pille le nord de la France et les côtes anglaises. En 852, Lothaire lui rend la Frise à condition qu’il défende les côtes de l’empire des autres invasions vikings.
En 854, Lothaire lui retire la Frise et lui confie le fief jutlandais, ce qui lui permet d’écumer la mer Baltique et de s’immiscer en terre russe.
En 861, il est appelé par les habitants de Novgorod pour les défendre des incursions de voisins remuants. Il s’installe avec ses frères,Sineus et Truvor sur le territoire et se proclame prince.
Vaillant homme de guerre, il s’avère aussi législateur efficace, calquant les lois de Novgorod sur les capitulaires de Charlemagne.
*Louis I le Pieux, fils de Charlemagne est né à 80 km de Bressuire. La femme de l’empereur, Hildegarde, le mit au monde, en 778, à la villa Cassinogilum, (Chasseneuil-du-Poitou, dans l’actuel département de la Vienne, en Poitou-Charentes). |
-Igor I 874-879 (fils de Rurik I) est déposé et meurt en 891.
-Oleg I 879-880 (cousin de Rurik I, frère d’Efanda), tuteur d’Igor. Il mène une expédition contre Kiev et fait assassiner son prince Askold.
http://www.bressuire-ryazan.fr/spip.php?article73
Olisseï Gretchine (en russe: Олисей Гречин)
(le nom complet étant Olisseï Petrovitch Gretchine) est un peintre d'icône, probablement d'origine grecque (d'où lui viendrait son prénom).
Mais il est vrai que des origines étrangères étaient souvent données à des slaves et il pourrait aussi être le fils d'un boyard de Novgorod, Piotr Mikhalovitch. Olisseï Gretchine a travaillé à Novgorod aux xiie ‑ xiiie siècle.
Près de Novgorod : église de Nereditsa, les fresques
En 1973—1977, dans l'excavation archéologique dite de la " Trinité " à Novgorod, a été découverte une maison et, attenant à celle-ci, l'atelier du peintre d'icône Olisseï. Également des ébauches d'icônes, des échantillons de peintures, des inventaires d'œuvres de l'artiste et une vingtaine de documents sur écorce de bouleau servant de copie pour le maître.
Un lieu enchanteur au bord du golfe de Finlande, c'est un petit domaine typique de la fin du 19 siècle,
début du 20 siècle où vivait et peignait le célèbre peintre russe Repine.
Cet endroit nous plonge dans l'intimité du peintre et incite à la création artistique, la se rencontraient les peintres et ecrivains amis de Repine; dans l'atelier du peintre on peut admirer quelques unes de ses toiles ainsi que celles de ses amis.
Repine jugea le lieu tellement idyllique qu'il decida de se faire enterrer au fond du jardin.
Il est des endroits aux attraits incomparables, propices à l’étude approfondie du monde de l'art. Ils nous aident à nous ressourcer, loin de l’agitation quotidienne. Le magnifique parc qui entoure la propriété vaut le détour à lui tout seul.
Dans le village de Répino, à 40 kilomètres au nord de Saint-Pétersbourg, le portail blanc entièrement sculpté qui donne sur le domaine accueille les visiteurs.
Ces derniers empruntent l'allée de bouleaux qui mène au musée puis continuent leur chemin, équipés d’un audio-guide et de chaussons jetables de grande taille.
Sans se presser, ils écoutent les commentaires surannés de
l'audio-guide dans l’une des langues proposées :
les promeneurs découvrent les Pénates, maison de campagne enchantée dont le nom évoque les divinités grecques, gardiennes du foyer.
Jusqu’en 1940, la maison-musée du peintre, située dans le village de Répino (anciennement nommé Kuokkala) se trouvait sur le territoire finlandais.
La propriété a traversé le temps : la révolution, la guerre et d'autres moments capitaux de l'histoire russe se sont déroulés sous ses yeux.
Quand Ilya Répine (né en 1844 et décédé en 1930) achète ce domaine en l’honneur de sa seconde épouse, le village de Kuokkala est encore finlandais.
En 1940, ce territoire est annexé à l'Union Soviétique et le nom de Répino est attribué au village en l’honneur du peintre réaliste.
De nombreuses variantes des toiles les plus connues de Répine ont été conçues dans la propriété des Pénates.
La maison-musée offre désormais aux yeux du promeneur une collection d'esquisses, de tableaux et d’objets, témoins muets du travail et de la recherche créatrice de l'artiste.
Un sabre, un gousli et une bourka cosaque sont exposés : s’ils appartenaient déjà à Répine lorsqu'il travaillait à son chef d'œuvre Les Cosaques zaporogues écrivant une lettre au sultan de Turquie, le peintre les utilisait également lorsqu’il se consacrait à la Horde sur la mer noire.
À travers cette toile, le peintre a su saisir l'atmosphère oppressante qui s’abattait sur le pays suite à la défaite de la Russie dans la guerre qui l’opposait au Japon :
en pleine mer, des cosaques réfugiés sur un rafiot luttent de toutes leurs forces contre la tempête, condamnés à une mort certaine.
Entre Finlande et Russie, la maison-musée Ilya Е. Répine, les Pénates, rend hommage au peintre. C'est ici que le peintre a réalisé son chef-d’œuvre connu dans le monde entier :
LesCosaques zaporogues écrivant une lettre au sultan de Turquie.
Crédit photo : service de presse
Répine a joué un rôle important dans la vie sociale, spirituelle et politique de son époque. Bien qu'aujourd'hui, de nombreuses œuvres de Répine soient considérées comme des incarnations du réalisme socialiste, son œuvre cachait également des motifs religieux.
Le peintre brillait par son intelligence lumineuse. I
l se sentait proche de l'enseignement de Leon Tolstoï ainsi que des « peintres ambulants » : ce mouvement artistique regroupait de nombreux peintres russes du dernier tiers du XIXe siècle qui jouèrent un rôle actif dans le développement de la culture et des arts.
« Débrouillez-vous ! »
À l'entrée de la maison, une planche avertissait les nouveaux venus : « Débrouillez-vous ! ». « Enlevez votre manteau et déchaussez-vous tous seuls ! ». Pas la moindre trace d’un serviteur. En guise de sonnette, les invités annonçaient leur présence en frappant sur un tam-tam : l’énorme gong retentissait joyeusement.
Répine et son épouse, l'écrivaine Natalia Nordman, vivaient dans le respect de principes libéraux et démocratiques. Leur maison était un lieu de création, de débats, de réunions où se rencontraient les représentants des différents courants artistiques.
Les écrivains Maxime Gorki, Alexandre Kouprine, Corneille Tchoukovski, le chanteur Fédor Chaliapine et le jeune poète révolutionnaire Vladimir Maïakovski aimaient se rendre chez Ilya Répine. Ce dernier avait beaucoup d'estime pour Maïakovski en tant qu'individu ; il refusait cependant de le considérer comme un artiste futuriste. Les dessins de Maïakovski plaisaient au peintre. Parfois, les deux artistes s’affrontaient dans des concours de dessin :
que le plus rapide gagne !
Musiciens, acteurs, peintre et savants en tout genre se réunissaient au cours de déjeuners végétariens.
La table ronde massive, équipée d'un grand plateau tournant, permettait à tous les convives de se servir sans l’aide d’un tiers.
Répine l’avait conçue personnellement. Le peintre avait également eu l’idée de construire de profonds caissons destinés à accueillir la vaisselle utilisée au cours des repas.
Ceux qui ne respectaient pas les règles et ne se servaient pas eux-mêmes étaient invités à prendre place derrière une petite tribune afin d’improviser un discours au pied levé. Souvent, le propriétaire lui-même devait se soumettre à ce châtiment, pour le plus grand bonheur de tous.
En 1918, suite à la révolution d'octobre, la frontière russo-finlandaise fut soudainement fermée.
Ilya Répine ainsi que d'autres peintres russes se retrouvèrent coupés de leur pays.
La faim, le froid et une douleur à la main tourmentaient le peintre.
La désolation s’incarne dans l’autoportrait qu’il achève en 1920.
Dans l'atelier, une toile inachevée du peintre se dresse encore.
Répine s’y est consacré près de 30 ans.
La toile, intituléePouchkine sur les rives de la Néva, 1835, représente l'écrivain, comme surgi de l’au-delà, devant la ville déserte de Saint-Pétersbourg, toute de pierre blanche bâtie.
En 1926, les voix de l'intelligentsia russe résonnèrent à nouveau dans la maison de Répine, suite à la visite d’une délégation de l'Union Soviétique.
Cette visite bouleversa le peintre, déjà âgé, qui refusa néanmoins de déménager.
Il mourut quatre ans plus tard et fut enterré dans le parc de sa propriété après avoir légué ses Pénates à l'Académie des Beaux Arts de Saint-Pétersbourg.
Pendant la guerre, la maison fut détruite.
Pourtant, tout le mobilier qu'elle accueillait fut miraculeusement sauvé.
Le musée fut méticuleusement reconstruit et ouvrit de nouveau ses portes en 1962. Aujourd'hui, la culture est plus accessible que dans les années 60 et 70.
Cependant, si les visiteurs sont moins avides de découvertes qu’à l’époque, arpenter le musée vaut toujours le coup.
L'association de différents genres était caractéristique du Siècle d'argent et Ilya Répine fut l'un de ceux qui éclaircit ouvertement sa position artistique.
Dans ses mémoires, il écrivit : « En tant que manifestations supérieures de l’esprit, les idées authentiques et profondes resteront inaltérées. Véritables étoiles du monde des idées, elles retiendront l’attention des plus grands cœurs et des esprits les plus fins».
(Il est impossible d’accéder à la citation originale issue des mémoires de l’artiste.
Cette version traduite de l’anglais est issue des travaux de Ruth Wyneken.) Si Ilya Répine était encore en vie, il continuerait inlassablement à se mêler des événements d’actualité dans lesquels baignerait son quotidien.
Ce dernier avait beaucoup d'estime pour Maïakovski en tant qu'individu ; il refusait cependant de le considérer comme un artiste futuriste.
Les dessins de Maïakovski plaisaient au peintre.
Parfois, les deux artistes s’affrontaient dans des concours de dessin :
que le plus rapide gagne !
SOURCES :
http://fr.rbth.com/articles/2012/07/20/une_fenetre_ouverte_
sur_le_genie_artistique_dilya_repine_14947.html
Were any of the older Romanov sisters being "courted" by any boys before they died?
teatimeatwinterpalace a répondu:
Hello ! Olga being the eldest was more concerned by marriage matters than her sisters, one of her first suitor was the twenty-three-year-old Prince Christopher of Greece and Denmark he fell under the charm of Olga while visiting his sister Grand Duchess Maria Georgievna, His sister´s lady-in-waiting wrote :
" He told me, that he greatly admired the Grand Duchess Olga…and asked me if I thought he had any chance. To me this was nothing very new, as I was accustomed to his short-lived enthusiasms, but this time I decided it would be a very good idea. After endless discussion, we decided to speak to his sister, the Grand Duchess George, and she suggested, ‘Why not try?’ So, having been given a stiff whisky and soda, he started for Livadia that afternoon.
Whilst he was away, we three, the Grand Duchess, Zoia [the Baroness’s daughter] and I, walked about aimlessly. We worked ourselves into a perfect fever of excitement. When we heard the wheels of the car returning we nearly broke our necks trying to get to the door.
I slid down the staircase in my haste but neither I nor anyone else took the least notice of that. He looked pale but dignified.
We imagined he would have returned triumphant with a ring on his finger. Pushing him into the small writing room, we yelled at him, ‘Well?’ He slumped into a chair, and with a bewildered expression said, ‘I don’t know.’ ‘
What do you mean, you fool, you don’t know?’ ‘Well, I don’t.’ Then, when we had ceased insulting him, he told us that the Emperor had been most kind but said firmly, ‘Olga is too young to think of such a thing as marriage yet.”
An union between Carol of Romania and Olga was considered more carefully, but it didn’t work out because clearly Olga wasn’t attracted to him, Carol also didn’t fell anything for her, at that time she said to Pierre Gilliard ‘ I don’t want to leave Russia.
I’m a Russian and I mean to remain a Russian.’ However Carol was charmed by Maria, and asked her hand but Nicholas refused upon the fact she was too young.
It was for the best Carol wasn’t a gift and they knew it, the girls purposely sunburned their faces during the voyage to Romania so that Carol finds them ugly. Here is the opinion of his mother Queen Marie :
" When the idea of a marriage between our son, Carol, and Olga, the eldest daughter of the Czar, was proposed, I was more against than for it, because I feared that uncanny illness—hæmophilia—which the women of certain families are supposed to give to their sons. I knew that poor Alix had given this illness to her heir, and I dared not face such a risk for our family.
Gladly would I have welcomed one of Nicky’s daughters, had it not been for this, as, besides the ties of affection, it was a most flattering proposal, especially as it had been brought forward by the Russian side.”
Alexander of Serbia exchanged letters with Tatiana, it is said he was quite smitten by the second daughter of the Tsar.
The English side, Prince Arthur son of Prince Arthur Duke of Connaught, visited Russia in 1911, the British ambassador’s daughter noticed that his visit was ’ secretly to look at the Emperor’s daughter. ’ We know nothing about this meeting, or the impression for both of them.
Their cousin Louis Mountbatten fell in love with Maria and kept her photograph on his bedside all his life, who knows what would have happened if the Revolution didn’t broke out ? He was quite loved by his cousins, but I don’t think Maria had the same level of love than Dickie.
Of course Edward, the Prince of Wales who was 1 year older than Olga was mentioned but nothing serious came out.
The Russian side Prince Ioann Konstantinovich had a soft spot for Olga, he was very sad when he realised that he couldn’t marry her. But he had a happy marriage with Helena of Serbia, short but happy.
Grand Duke Dmitri Pavlovich was once considered as a prospective husband for Olga but his behaviour made him fall from the grace of Alexandra.
Alexandra was horrified when Maria Pavlovna proposed her second son, Boris, as a possible future husband for Olga, she wrote :
’ to give over a well used half worn out, blasé young man to a pure, fresh girl, 18 years his junior, & to live in a house in which many a woman has ‘shared his life’… An inexperienced girl would suffer terribly, to have her husband 4th, 5th hand or more.’
Boris of Bulgaria, Adalbert of Germany, Peter of Montenegro were also names which were circulated at that time.
• • •
We know that the three eldest developed strong attachment over few officers. Olga nursed an innocent passion for a junior officer on the Standard, Pavel Voronov, it seems he shared her feelings, but it was doomed from the beginning and he married Olga Kleinmikhel. Olga wrote in code in her diary : ‘T. was there with my S [Voronov]. In the end he is S. to me, for the bride [has] the rest of him, but for me [he is] S.’ Here is a young and older Olga with Voronov
Then she grew, as a nurse, an attachment to Dmitri ‘Mitya’ Shakh-Bagov, she often wrote about ‘Mitya’ in her diary and I. Belyaev wrote :
' The Grand Duchess Olga Nikolaevna had her very own ‘protégé’ : the sick young ensign from Yerevan - Shakh-Bagov, very sweet and shy like a girl. It was obvious that he was utterly in love with his nurse. His cheeks burned with a bright flame whenever he looked at Olga Nikolaevna.’
Meanwhile Tatiana had fallen for Dmitri Malama a Kuban Cossack, Alexandra had a special affection for him and she wrote
‘My little Malama came for an hour yesterday evening…Looks flourishing more of a man now, an adorable boy still. I must say a perfect son in law he w(ou)ld have been – why are foreign P(rin)ces not as nice?”. Tatiana also had another suitor Boris Ravtopulo he was hooked by her but never had the courage to tell her his feelings. ‘
He fought for the White Army after the Revolution broke out and was killed in 1919. It seems that she had another love interest in Vladimir Kiknadze. Here she is with Malama :
As for Maria she felt affection for Nicholas Demenkov, she openly talked of her crush to her father, she’d even sign her letters ‘Mrs. Kolya Demenkov.’, Alexandra called him ‘Marie’s fat fellow’.
At leas they lived the early stage of love. Nicholas and Alexandra wanted to take things slowly, World War I put a brake to any marriage prospects. Moreover they were so close that I think they cherished the fact that they could ‘keep’ their daughters with them.
In my opinion they would have never push their daughters into a loveless marriage nor a dynastic marriage that could have been unhappy, maybe I’ve an utopian view on the subject but despite many people think Alexandra wasn’t a snob and cold hearted..
Étaient l'une des plus anciennes sœurs Romanov étant "courtisé" par tous les garçons avant leur mort?
teatimeatwinterpalace un répondu:
Bonjour! Olga étant l'aîné était plus préoccupé par les questions de mariage que ses sœurs, une de son premier prétendant était le vingt-trois ans, le prince Christophe de Grèce et le Danemark, il tombe sous le charme d'Olga alors qu'il visitait sa soeur Grande-Duchesse Maria Georgievna, Son sister's Dame de compagnie a écrit:
"Il m'a dit, qu'il admirait la grande-duchesse Olga ... et m'a demandé si je pensais qu'il avait une chance. Pour moi, ce était rien de très nouveau, comme je avais l'habitude de ses enthousiasmes de courte durée, mais cette fois je ai décidé qu'il serait une très bonne idée. Après d'interminables discussions, nous avons décidé de parler à sa sœur, la grande-duchesse George, et elle a suggéré: «Pourquoi ne pas essayer?» Ainsi, après avoir été donné un whisky raide et de soude, il partit pour Livadia que après-midi.
Alors qu'il était absent, nous trois, la Grande-Duchesse, Zoia [la fille de la baronne] et moi, marchait sans but. Nous nous avons travaillé dans une parfaite fièvre d'excitation. Lorsque nous avons entendu les roues de la voiture de retour nous avons presque cassé le cou en essayant de se rendre à la porte.
Je ai glissé dans l'escalier dans ma hâte, mais ni moi ni personne d'autre a pris le moins de ce préavis. Il était pâle, mais digne.
Nous avons imaginé qu'il aurait retourné triomphant avec une bague à son doigt. Le poussant dans la petite salle de rédaction, nous lui a crié: «Eh bien?» Il se laissa tomber sur une chaise, et avec une expression perplexe dit: «Je ne sais pas. ''
Qu'entendez-vous, imbécile, vous ne savez pas? »« Eh bien, je ne sais pas. »Puis, quand nous avions cessé de l'insulter, il nous a dit que l'Empereur avait été plus aimable mais a dit fermement,« Olga est trop jeune pour penser à une telle chose que le mariage encore. "
Une union entre Carol de Roumanie et Olga a été jugé plus attentivement, mais il n'a pas fonctionné parce clairement Olga ne était pas attirée par lui, Carol n'a pas non plus quelque chose est tombé pour elle, à ce moment-elle dit à Pierre Gilliard «Je ne veulent pas quitter la Russie.
Je suis un Russe et je veux rester un russe. «Toutefois Carol a été charmé par Maria, et a demandé sa main, mais Nicholas refusé sur le fait qu'elle était trop jeune.
Il était pour le mieux Carol ne était pas un cadeau et ils le savaient, les filles volontairement leurs visages brûlés par le soleil pendant le voyage en Roumanie, afin que Carol trouve laids. Voici l'avis de sa mère la reine Marie:
«Quand l'idée d'un mariage entre notre fils, Carol, et Olga, la fille aînée du tsar, a été proposé, je étais plus contre que pour elle, parce que je craignais que étrange maladie-hémophilie, qui les femmes de certaines familles sont censé donner à leurs fils. Je savais que ce pauvre Alix avait donné cette maladie à son héritier, et je ne osais pas faire face à un tel risque pour notre famille.
Volontiers je ai accueilli l'une des filles de Nicky, ne eût été pour cela, que, outre les liens d'affection, ce était une proposition plus flatteur, d'autant plus qu'elle avait été présentée par la partie russe. "
Alexandre de Serbie échangé des lettres avec Tatiana, on dit qu'il a été très frappé par la deuxième fille du tsar.
Du côté anglais, Prince Arthur fils du prince Arthur duc de Connaught, a visité la Russie en 1911, la fille de l'ambassadeur britannique a remarqué que sa visite était «secrètement à regarder la fille de l'empereur. «Nous ne savons rien au sujet de cette réunion, l'impression ou pour les deux.
Leur cousin Louis Mountbatten tombé en amour avec Maria et a gardé sa photo sur son chevet toute sa vie, qui sait ce qui serait arrivé si la révolution ne avait pas éclaté? Il a été très aimé par ses cousins, mais je ne pense pas que Maria avait le même niveau d'amour que Dickie.
Bien entendu Edward, le prince de Galles, qui était de 1 an de plus que Olga a été mentionné, mais rien de grave est sorti.
La partie russe prince Ioann Konstantinovich avait un faible pour Olga, il était très triste quand il a réalisé qu'il ne pouvait pas l'épouser.
Mais il fait, par la suite, un mariage heureux avec Helena de la Serbie, à court mais heureux.
Grand-Duc Dmitri Pavlovitch était autrefois considéré comme un futur mari pour Olga mais son comportement a fait tomber de la grâce de Alexandra.
Alexandra était horrifiée quand Maria Pavlovna proposé son deuxième fils, Boris, comme un possible futur mari pour Olga, elle écrit:
»Pour donner plus d'un, jeune homme blasé bien utilisé moitié usé à un pur, fille frais, 18 années sa cadette, et de vivre dans une maison dans laquelle beaucoup une femme a« partagé sa vie »... Une fille inexpérimentée souffrirait terriblement , d'avoir son mari 4e, 5e main ou plus. '
Boris de Bulgarie, Adalbert de l'Allemagne, Peter du Monténégro ont également des noms qui ont circulé à l'époque.
• • •
Nous savons que les trois aînés ont développé un fort attachement plus quelques officiers.
Olga nourri une passion innocente pour un officier subalterne sur le Standard, Pavel Voronov, il semble qu'il partageait ses sentiments, mais il était condamné dès le début et il épouse Olga Kleinmikhel.
Olga a écrit dans le code dans son journal:
«T. était là avec mon S [Voronov]. A la fin il est S. pour moi, pour la mariée [a] le reste de lui, mais pour moi [il est] S. «Voilà un jeune et plus avec Olga Voronov
Puis elle a grandi, comme une infirmière, un attachement à Dmitri Mitia 'Shakh-Bagov, elle a souvent écrit sur' Mitia 'dans son journal et I. Belyaev a écrit:
«La grande-duchesse Olga Nikolaïevna avait son propre« protégé »: le jeune enseigne malade de Erevan - Shakh-Bagov, très doux et timide comme une jeune fille. Il était évident qu'il était totalement en amour avec sa nourrice. Ses joues brûlées par une flamme brillante quand il regarda Olga Nikolaïevna '.
Pendant ce temps Tatiana était amoureuse de Dmitri Malama un des Cosaques du Kouban, Alexandra avait une affection particulière pour lui et elle a écrit
«Mon petit Malama venu pour une heure hier soir ...
On dirait plus florissante d'un homme maintenant, un garçon adorable encore. Je dois dire un fils parfait dans la loi, il w (ou) ld ont été - pourquoi sont P étrangère (rin) des CES pas aussi bien ". Tatiana avait aussi un autre prétendant Boris Ravtopulo il a été accroché par elle, mais jamais eu le courage de lui dire ses sentiments. '
Il se est battu pour l'armée blanche après la Révolution a éclaté et a été tué en 1919. Il semble qu'elle avait un autre intérêt d'amour à Vladimir Kiknadze. Ici, elle est avec Malama:
Quant à Maria, elle avait de l'affection pour Nicholas Demenkov, elle parlait ouvertement de son émotion, à son père, elle avait même signer ses lettres de Mme Kolya Demenkov. ', Alexandra a appelé «gras compatriote de Marie».
Au LEA ils vivaient le stade précoce de l'amour. Nicolas et Alexandra voulaient prendre les choses lentement, la Première Guerre mondiale a mis un frein à toutes les perspectives de mariage.
En outre, ils étaient si près que je pense qu'ils chérissaient le fait qu'ils ne pouvaient «garder» leurs filles avec eux.
À mon avis, ils ne auraient jamais pousser leurs filles dans un mariage sans amour ni un mariage dynastique qui aurait pu être malheureux, peut-être je ai une vue utopique sur le sujet mais en dépit de beaucoup de gens pensent qu'Alexandra était hautaine et snob, Tsarina comprenait ses Filles, et savaient que ces mariages n'auraient jamais été heureux, comme son propre mariage, son Amour profond pour Nicolas II.
Merab Gagiladze - Мераб Гагиладзе
Merab GAGILADZE Artiste peintre GENIAL !
Merab est né le 13 mars 1972 à Tbilissi, Géorgie.
En 1987, il commence sa formation à l’Ecole d’Art de Tbilissi, Ecole de céramique.
En 1990, il poursuit ses études à la prestigieuse Ecole des Beaux Arts de Tbilissi et obtient son diplôme en 1996 en Art Graphique.
Son oeuvre a été exposée dans de nombreuses galeries en Georgie, Angleterre, Irlande, France et aux Etats Unis.
...Le travail de Merab reflète la beauté et la diversité de la vie. Il transmet ses joies, ses peines et ses rêves d’homme ordinaire.
L’artiste trouve ses personnages dans l’histoire, la mythologie, la religion.
Il utilise souvent le symbolisme pour enrichir le contenu de son travail; de beaux ornements ajoutent de l’élégance à ses tableaux : des textures complexes, des nuances et un raffinement techniques ainsi qu’une grande créativité.
L’Age d’argent prend ses origines du symbolisme.
Ce mouvement s’est créé à la fin du 19e siècle sous l’influence française, mais ensuite, il est devenu un phénomène purement russe. Et tous les poètes, avec lesquels on a tendance à associer l’Age d’argent, sont entrés dans la littérature russe en tant que poètes-symbolistes. Il s’agit de Valéri Brioussov, Constantin Balmont, Andreï Biély, Alexandre Block, Marina Tsvetaieva et Maximilian Volochine.
C’est ainsi qu’est né l’acméisme – une aspiration d’un nouveau classicisme. Les principaux participants de ce mouvement étaient Lev Goumiliov, Ossip Mandelstam et Anna Akhmatova, qui a donné le nom à ce mouvement. Ensuite s’est développé le mouvement futuriste, qui est entré en contradiction avec l’Age d’argent, en rejetant son raffinement et l’avant-goût de la décadence. Ce mouvement a été soutenu par les poètes Velimir Khlebnikov, Vladimir Maïakovski, et Boris Pasternak, qui ont conduit la culture artistique russe vers des ouvertures d’avant-garde.
« Si l’Age d’argent n’existait pas, le mouvement d’avant-garde russe n’existerait pas », est persuadé l’expert de la culture russe Andreï Pelipenko. « Car les idées qui auraient existé à l’Age d’argent, sont d’actualité aussi de nos jours. Elles sont en opposition aux courants littéraires de l’époque. A l’époque, ces idées étaient dirigées contre la vulgarité bourgeoise, et aujourd’hui elles luttent encore contre la platitude des idées et leur primitivité ».
L’Age d’argent a un autre point de référence - l'émergence de l’association artistique « Le Monde de l'art ». Contrairement à beaucoup d'autres, ce mouvement a survécu pendant une très longue période : de 1898 à 1924, en réunissant des peintres tout à fait différents, comme Valentin Serov et Constantin Korovine, Constantin Somov, Alexandre Benois, Mikhaïl Vroubel et Nicolas Roerich, Zinaïda Serebriakova et Boris Koustodiev. Sergueï Diagilev (Serge de Diaghilev), l’un des fondateurs de ce mouvement a déclaré : « En soi, une œuvre d'art n’est pas importante. Elle est importante seulement comme l’expression de la personnalité de l’artiste ». Ce fut aussi le postulat principal de l’Age d’argent, qui a également attiré les « fossoyeurs » de l’époque, notamment les avant-gardistes Malevitch et Kandinsky, ainsi que les cubistes et les abstractionnistes russes, proches de leurs idées.
« À sa manière, c’est un phénomène unique dans la culture russe. A l’époque de l’Age d’argent, la personnalité de l’artiste a pour la première fois commencé à dominer en se débarrassant du complexe de solitude », explique Andreï Pelipenko. « Tout un milieu libre et non lié avec l’autoréalisation indépendant s’est alors formé ».
Le théâtre russe a apporté pendant cette époque une véritable pléiade de noms célèbres, comme le danseur Vaclav Nijinksi, le chanteur Fedor Chaliapine, ainsi que l’acteur et le metteur en scène Konstantin Stanislavski. L’Age d’argent fut la conséquence de la période de réformes, lancée en Russie au cours de l'époque de l'empereur Alexandre II, visant à changer le climat social et le paysage culturel du pays. C’est la raison pour laquelle cette époque a apporté un nombre aussi important de réformateurs de l’art, sans lesquels il était impossible d’imaginer l’histoire culturelle du 20e siècle, autant pour la Russie que pour le monde entier.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/french.ruvr.ru/2015_01_05/L-Age-d-argent-ou-l-epoque-de-la-Renaissance-de-l-art-russe-7061/
Trois héros, 1898 (via : wikipedia) |
Le prince Ivan chevauchant le loup gris (via : decadenthandbook) |
La princesse grenouille (via : wikipedia) |
La belle au bois dormant (via : historia de pinceles) |
(via : humano) |
Ange avec lampe, 1896 |
Les quatre chevaliers de l'apocalypse, 1887 |
Gamaun, l'oiseau prophétique, 1897 |
Le fils de Dieu |
Le linceul du Christ |
Séraphin (via : decadenthandbook) |
Le dieu de Savaoth, 1896 (via : decadenthandbook) |
Triptyque - Réjouissez-vous dans le Seigneur o justes - Panneau 1 |
Triptyque - Réjouissez-vous dans le Seigneur o justes - Panneau 2 |
Triptyque - Réjouissez-vous dans le Seigneur o justes - Panneau 3
|
Konstantine Apollonovitch Savitski, (en russe : Kонстантин Аполлонович Савицкий), est un peintre et un professeur russe des beaux-arts né dans le village de Frankovka ou Baronovka en Russie, le 6 juin 1844 et décédé le 13 février 1905 à Penza en Russie.
Né dans le village de Frankovka ou Baranovka, tout proche de Taganrog dont Otto Pfeilizer-Frank était le gouverneur, le jeune Konstantine passa son enfance à Taganrog où sa famille résidait dans le bâtiment d'une école secondaire de garçons.
Son père était médecin militaire et à la belle saison la famille louait une maison à Frankovka et c'est dans celle-ci que le futur artiste vit le jour.
Cette habitation a disparu à tout jamais car depuis 1876 le village a laissé place au complexe sidérurgique TAGMET qui maintenant fabrique surtout des tuyaux pour pipelines.
Tout jeune Kostia montra de l'intérêt pour le dessin et la peinture et ces disciplines furent ses favorites à l'école de Taganrog où il resta cinq années. Il ne dessinait pas seulement en classe mais aussi en dehors : par exemple lorsqu'il se trouvait sur le rivage
de la Mer d'Azov avec ses parents. Subitement son papa et sa maman moururent alors qu'il n'avait que seize ans.
L'orphelin avait un oncle en Livonie, actuellement la Lettonie. Il partit le rejoindre et son tuteur le plaça dans un lycée où se retrouvaient des jeunes gens de la noblesse.
Après y avoir passé deux ans, il en sortit diplômé en 1862 pour, conseillé par Lev Feliksovitch Lagorio et Alexandre Beidman, rentrer la même année à l'Académie russe des beaux-arts à Saint-Pétersbourg.
Il se retrouva dans une classe de peinture historique avec des professeurs comme Fedor Antonovitch Bruni, T.A. Markov
Au cours des nombreuses années qu'il y passa, il eut pour camarades et amis de nombreux représentants célèbres de la culture russe comme le sculpteur Mark Antokolski, le critique d'art et journaliste
Vladimir Stassov, l'écrivain et historien Nikolaï Karamzine, les peintres Ilya Repine, Ivan Kramskoï qui réalisa son portrait en 1871 (huile sur carton au musée des beaux-arts Ivan Kramskoï) ,
Ivan Chichkine, Victor Vasnetsov et d'autres.
Il devint l'un des meilleurs étudiants de l'Académie impériale des arts et commença à exposer.
Sept médailles récompensèrent ses travaux : trois petites en argent en 1868 pour Orgue de Barbarie, une grande en argent en 1869 pour la Crucifixion du Christ, une grande en argent en 1870 avec des encouragements pour la Visite au fils malade et Locaux de la poudrière.
Expulsé du pensionnat de l'Académie pour avoir critiqué le régime de l'établissement, il perdit sa bourse, se trouva dans une situation financière difficile et ne put concourir pour la grande médaille d'or cependant en 1871, il obtint une petite médaille d'or pour Cain et Abel.
En 1873 il réalisa un de ses tableaux les plus connus qui se trouve maintenant à la Galerie Tretiakov à Moscou : Travaux de réparation du chemin de fer alors qu'il se trouvait avec Ivan Kramskoï à la station de Kozlovka-Zaseka près de Toula.
Ce tableau , l'un des premiers à illustrer la vie de la classe ouvrière, des agriculteurs, des travailleurs journaliers fut acheté
par Pavel Tretiakov et se trouve maintenant à Moscou dans la galerie du célèbre collectionneur.
À partir de 1872 certaines de ses œuvres étaient présentes aux expositions des Ambulants mais en 1874, il devint membre du groupe aux côtés de Kramskoï, Vassili Sourikov, Vassili Perov et bien d'autres.
Leur but était de parcourir leur immense pays pour découvrir les sujets à peindre et à exposer rendant compte de la vie des gens simples et ainsi de se démarquer de l'art académique officiel qui illustrait la vie et les préoccupations de la classe possédante, client principal du marché de l'art.
Diplômé de l'Académie, selon la tradition, avec une bourse accordée par le Tsar Alexandre II, il partit deux ans à l'étranger pour voir et apprendre ce qui se faisait ailleurs. Il visita les Académies de Dresde et de Düsseldorf et vécut à Paris où il retrouva ses amis Ilya Repine et Vassili Polenov.
Il profita de son séjour en France pour étudier le travail des paysagistes et cela l'inspira peut-être pour peindre en 1875, lorsque il résida en Normandie, à Veules-les-Roses, Pêcheurs normands en péril.
Cette année là, en février, sa première épouse Catherine Saviskaya née Mitrokhine mourut tragiquement à Paris : elle se suicida.
En 1876, il se rendit dans le centre où il peignit Voyageurs en Auvergne. C'est aussi au cours de son voyage en France qu'on apprit qu'il avait été impressionné par les réalisations de gravure sur métal.
En 1878, certaines de ses œuvres furent présentées à l'Exposition universelle de Paris et en 1882 à l'exposition d'art de toute la Russie au palais de l'industrie à Moscou.
De retour dans son pays, pendant vingt ans, il se consacra à l'enseignement. De 1883 à 1889 il résida à Saint-Pétersbourg et à Dinabourg, aujourd'hui Daugavpils pour exercer le métier de professeur à l'école centrale de dessin technique du baron Stieglitz à Saint-Pétersbourg.
De 1891 à 1897 il habita à Moscou pour donner des cours à l'école de peinture, de sculpture et d'architecture et y diriger, à partir de 1894, les classes supérieures.
Enfin en 1897 il s'installa à Penza pour être, jusqu'à sa mort, directeur de la toute nouvelle école des beaux-arts « Nikolaï Dmitrievitch Seliverstov » ainsi appelée car elle avait été édifiée grâce au patrimoine, en grande partie, et sur les terres de ce général assassiné à Paris.
La même année, il fut élu Académicien de l'Académie impériale des Arts dont il était membre depuis deux ans.
De cette école sortirent, les diplômés les meilleurs étaient inscrits sans examen à l'Académie impériale des beaux-arts. Parmi les élèves qui fréquentèrent cet établissement on peut retenir, entre autres, Mikhail Fedorovitch Larionov, Aristarkh Vassilievitch Lentoulov, Vladimir Tatline, Alexandre Borissovitch Deltsov.
En 1896, avec Ivan Chichkine il travailla au tableau Matin dans la forêt de pins où l'on voit quatre ours jouer dans un rompis. Longtemps on crut que ces oursons étaient des ajouts de Savitski mais plus récemment on découvrit que l'esquisse préliminaire était dûe aux deux artistes et que Savitski avait retiré sa signature.
Il est enterré à Penza, dans le cimetière Mitrofanievskom.
Alexandre Dmitrievitch Litovtchenko (Алекса́ндр Дми́триевич Лито́вченко), né le 26 (14 en calendrier julien) mars 1835 à Krementchoug (Empire russe) et mort le 28 (16 en calendrier julien) juin 1890 à Saint-Pétersbourg (Empire russe),
est un peintre, sujet de l'Empire russe, membre de l'Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg, membre de la révolte des Quatorze, qui fut l'un des fondateurs de l'artel des artistes
(fondé en 1863) et fit partie du mouvement des Ambulants à partir de 1876.
Sergei Pavlovich Diaghilev was a Russian art critic, patron, ballet impresario and founder of the Ballets Russes. He revitalized ballet by integrating the ideals of music, painting and drama with those of the dance.
Les Russes aiment Monaco. En dix ans, la population russe a été multipliée par six sur le Rocher, parmi elle on compte des milliardaires classés par Forbes. Dernier exemple en date, le rachat de l’AS Monaco par Dmitry Rybolovlev fin 2011.
Pourtant, cette histoire n’a rien d’une idylle. Cela fait plus de 100 ans que les russes se sont implantés en Principauté.
Quand Nice devient française en 1860, elle est aussi le point d’ancrage d’une importante colonie russe. Celle-ci s’étendra rapidement sur l’ensemble des Alpes-Maritimes, de Cannes en passant par Menton.
Et de Menton à Monaco, il n’y a qu’un pas.
Pour la première fois en 1868, une ligne de train relie la Riviera à la Principauté. Pour accueillir les très nombreux aristocrates russes et anglais amateurs de jeux, deux arrêts sont construits aux portes de Monaco.
Pour autant, ce ne sont pas les nobles mais bien les danseurs étoiles des Ballets russes qui ont introduit la Principauté aux Russes.
Serge de Diaghilev est l’homme derrière cette réussite. Il fait ses classes dans sa Russie natale et décide – pour acquérir plus de liberté dans son travail – de se détacher du Ballet Impérial de Saint-Pétersbourg et fonde sa propre troupe.
C’est d’abord à Paris, puis à Monaco qu’il s’installe à la demande de François Blanc, fondateur de la Société des Bains de Mer*.
Les Ballets russes, devenus Ballets de Serge de Diaghilev démarrent le 9 avril 1911 à la salle Garnier de Monaco.
Le succès est immédiat, à l’image du danseur Nijinski résidant à l’Hôtel Hermitage.
Les membres de la troupe logent à Monaco ou dans les communes limitrophes.
Ces ballets prennent une importance telle que Coco Chanel et Misia Sert jouent les égéries pour Diaghilev.
C’est en 1929 qu’a lieu la dernière saison de ses ballets. Souffrant et lassé, Diaghilev veut se consacrer à la lecture mais meurt cette même année à Venise.
Le succès rencontré par ses spectacles ont incité René Blum à prendre la suite du travail de Diaghilev en créant les « Ballets russes de Monte-Carlo », nés de la fusion du ballet de l’Opéra de Monte-Carlo et du ballet de l’Opéra russe à Paris.
En 1938, les ballets russes passent sous contrôle américain jusqu’en 1965.
Ceux-ci disparaîtront pendant 20 ans avant de réapparaître en 1985 à la demande la Princesse Grace et de Caroline de Monaco.
Depuis, chaque représentation est un immense succès populaire, et Serge de Diaghilev a son nom dans une rue monégasque proche du Casino.
Histoire de ne pas être trop loin de ses compatriotes.
Salle de l’Opéra de Monte-Carlo (© DR)
*Fondée et présidée par François Blanc en 1863 sous ordonnance princière
de Charles III de Monaco.
Cette société a été créée dans le but de développer le quartier de Monte-Carlo.
La SBM développera la totalité des infrastructures touristiques encore présentes aujourd’hui.
On peut citer notamment l’Opéra de Monte-Carlo, le Casino ou encore l’Hôtel de Paris.
Romain Massa
http://defigrandesecoles.lexpress.fr/edj-nice-2014/2013/11/19/avant-rybolovlev-les-russes-a-monaco/
Arkhip Ivanovitch Kouïndji (en ukrainien Архип Іванович Куїнджі, en russe : Архип Иванович Куинджи, né le 27 janvier 1841 (?) à Marioupol
et mort le 24 juillet 1910 à Saint-Pétersbourg, est un peintre paysagiste russe d'origine grecque-pontine.
Arkhip Kouindji
Arkhip Kouïndji naît dans une famille pauvre, son père était un modeste cordonnier grec pontin.
Il apprend un peu à écrire et à lire (en grec) dans son enfance tout en gardant les oies, et en participant à divers travaux.
Il aime dessiner dès sa tendre enfance.
Il travaille comme retoucheur de photographies chez un photographe de Taganrog, puis travaille à Odessa et à Saint-Pétersbourg.
Dès sa tendre enfance, il dessine.
Un de ses tableaux, Le logis de Tatars de Crimée, est accepté en 1868 à une exposition de l'Académie, où il est admis comme étudiant libre.
Il devient peintre officiellement en 1872, pour son tableau La débâcle automnale et reçoit une médaille de bronze à l'exposition universelle de Londres, en 1874 et participe aux expositions des Peintres ambulants, dont il devient membre à part entière en 1877.
Deux tableaux montrés en 1878, Forêt et Un soir en Petite Russie, suscitèrent de vives discussions.
Il continue d'exposer, rencontrant de plus en plus de succès à partir des années 1880, mais refuse toute exposition publique à partir de 1882.
Il devient professeur de l'Académie impériale des beaux-arts
de Saint-Pétersbourg de 1894 à 1897 et reçoit des prix importants et des sommes d'argent importantes.
Il meurt des suites de la maladie du cœur à
Saint-Pétersbourg, en 1910, chez lui, à la Maison Elisseeff,
18 ligne du quai, appartement n°11
Arkhip Kouindji
Ce peintre russe appartient à la famille des ambulants, mouvement de peinture qui connut son âge d’or fin
du XIX siècle.
Il fait du tableau la source de la lumière, si bien que, lorsqu’il exposait, les spectateurs allaient voir derrière ses toiles pour vérifier que personne n’y avait pas placé une bougie.
Ses contrastes avec des ombres marquées font de la toile un spectacle phosphorescent.
Arkhip a ouvert la voie à une dynastie d'artistes: Татьяна - Tatiana - est chanteuse à l'opéra de Perm; Ваня - Vania - est musicien, et poète.
View of the Isaac Cathedral at moonlight night ((painting by Arkhip Kuindzhi, 1869)
The Night on the Dnepr (1880) © Wikipedia
SOURCES
D.R.
http://dona.centerblog.net/rub-peintres-russes-xixe-siecle-.html
Un trésor a été découvert lors des travaux de restauration d’un l’hôtel particulier du 18 siècle, rue Tchaïkovski, à Saint-Pétersbourg.
La famille aristocratique Narychkine-Troubetskoï, propriétaire de l’hôtel, a quitté la Russie après la révolution Bolchevik, en novembre 1917.
Le porte parole de la société Intarsi chargée de la restauration de ce manoir a annoncé la découverte du trésor le 19 mars.
Ces objets étaient dissimulés dans une petite pièce secrète située sous un plancher entre le deuxième et le troisième étages du bâtiment.
Les objets avaient été enveloppés dans du papier et des journaux datant de mars, juin, août et septembre 1917.
Ce trésor se compose de services de table d’apparat , en argent massif, vermeil provenant des plus grands orfèvres de la moitié du XIX° et
du début du XX°, comme Sassikov, Ovchenikov, Khlebnikov,
les Frères Grachev et Fabergé (Сазиков, Овчинников, Хлебников, братья Грачевы, Фаберже).
Soit près de 2 168 objets comprenant 4 services complets pour divers occasions ( service de table, à café, à déssert) fin XIX° et début XX°.
Le tout se trouvait dans des sacs en tissu, emballé dans du papier et des journaux datés de mars juin aout et septembre 1917, imbibé de vinaigre permettant un état de conservation parfait , prêt à être dressé sur une table.
Soupière aux armoiries de la famille Narichkine
Une autre partie de ce trésor se trouvait dans des écrins en bois à tiroirs pour les couverts, l’ensemble également imbibé de vinaigre.
Sur beaucoup d’objets se trouvent les armes de la famille Narichkine,objets fabriqués par les meilleurs ateliers d’orfévreries et de bijoutiers russes du milieu du XIX.
L’on a trouvé des plats caractéristiques de Fabergé, salières, quelques bijoux pascals sur une chaine en sautoir et une montre.
Le vaisselle de table est en argent et en vermeil, les couteaux sont français à manche de perles et porcelaine peinte dans les écrins à tiroirs.
Se trouvent également des objets aux armes impériales, des décorations : St Vladimir avec épées, des médailles en souvenir du 300° anniversaire de la Maison des Romanov et une médaille du 100° anniversaire de la guerre de 1812 ainsi qu’une décoration de l’ordre de la Serbie et du Monténegro.
Il n’est pas rare de découvrir à l’occasion de restauration ou de transformation des objets qui furent cachés dans les murs d’appartements au moment de la Révolution de 1917.
Il y a une dizaines d’années, l’on a découvert une pièce murée dans laquelle le propriétaires avait installé, dans l’espoir de revenir: de la nourriture, du tabac, des allumettes des bougies des livres et un modeste mobilier.
A la suite de cette découverte beaucoup de propriétaires de logement se sont mis à fouiller: les murs, les plafond et les planchers à la recherche de trésors.
La cache du fabuleux trésor Narichkine.
Pour Intarsi ce n’est pas la première fois que l’on fait des découvertes lors de restauration à Saint Petersbourg durant ces 20 dernieres années, souvent lors de restaurations l’on découvre des choses étonnantes.
Quelques œuvres artistiques ont une certaine valeurs d’autres seulement culturelle. Le trésor Narichkine est une découverte comme jamais nous n’en avons eue, déclare M. Novikov porte parole de la société.
L’on a découvert lors de la restauration de l’Arc de Triomphe une étonnante collection de 5000 fume cigarettes représentant une valeur culturelle.
Lors de travaux aux Griffons au Pont de la Banque l’on a découvert 1860 pièces de monnaies anciennes, dans un hôtel particulier sur la Moïka 122 pièces de monnaies sous le plancher, et sous un couche de plâtre des fresques et des panneaux décoratifs de sgraffites( techniques de finitions décoratives).
Certains particuliers inventeurs de trésor ne dirent mot !
Toutes les hypothèses sont envisagées pour le placement de ce trésor , soit au Palais Constantin ou directement au manoir Narichkine ou dans un musée comme l’Ermitage ou le musée de Pavlosk ou ailleurs, en attendant la fin des investigations du gouvernement, des experts, des fonctionnaires et bien sûr des propriétaires, s’il y en a ?
Un des représentants de la famille Narichkine, Piotr Narichkine, âgé de 65 ans, vit en Afrique du Sud.
Il n’exclut pas être un prétendant pour hériter du trésor familial à
Saint Petersbourg.
Mais il n’est pas le seul descendant de la famille Narichkine !
Le musée de l’Ermitage souhaite obtenir ce trésor
ainsi que le musée de Pavlosk.
» Mystère de Saint Petersbourg: Trésor Narichkine«
Palais Constantin.
Présentation d’une partie du trésor Narichkine (voir l’article CLIQUEZ). L’ouverture de l’exposition s’est déroulée le 4 juin, en présence du Président de la Fédération de Russie, Vladimir Poutine, ainsi que des représentants de l’Union européenne.
José Manuel Barroso Président de l'Union Européenne et
Vladimir Poutine Président de la Fédération de Russie
devant une vitrine présentant des décorations militaires.
L’exposition présente 340 objets rares, sur les deux milles
découverts lors de la restauration
de la maison rue Tchaïkovski, le 29 mars 2012.
Les objets sont exposées en l’état dans lequel ils ont été trouvés.
Service en vermeil avec son plateau.
Sur les 55 trésors découverts à Saint-Pétersbourg au cours des 200 dernières années,
le trésor Narychkine, est peut- être le plus important.
Objets d'un des services de table (salières, pots, sucriers ...)
Au total l’on a retrouvé dans une cache, 6 services complets de table d’apparat, en métaux précieux (argent, vermeil et en or).
Ainsi que des objets de décoration, bougeoirs, coupes sur pieds, service à thé, des lustres, des samovars, des produits décoratifs et de l’artisanat, des bijoux en or, en argent, des pierres précieuses, ainsi que des médailles et des décorations
– retrouvés en parfait état, »
Comme s’ ils venaient d’être utilisés hier « .
Les plus grands orfévres et bijoutiers du XIX et début du XXe siècle ont crée ces merveilles.
Les plus connus de Russie:
I.Sazikova, P.Ovchinnikova, I. Khlebnikov, les frères Gratchev, Fabergé
et européens comme Falize, Aucocaine , Touron.
Couteaux d'un des services.
Déja près de 300 personnes ont eu l’honneur de visiter cette exposition exceptionnelle.
Exposition sécurisée au moyen de vitrines blindées, vidéo surveillance et sous la protection
permanente de gardiens. Il est à préciser que sur cartels pour les vitrines présentent seulement des informations générales, telles que le créateur d’un ensemble de plats et de l’année approximative de la création.
Nomination d’éléments individuels, longtemps hors d’usage, même dans «la haute société ».
Par conséquent, les guides sont présents pour répondre aux questions tels que :
»Qu’est-ce que c’est? »
où « A quoi cela servait il? »
C’est l’espoir que cela permettra de relier le passé et le présent.
»Beaucoup d’entre nous aiment à étudier l’histoire, mais dans l’abstrait. Lorsque vous étudiez les choses, les objets de l’époque, il y a un sentiment tout à fait différent, « a déclaré monsieur Vladimir Kojine lors de la conférence de presse le 4 juin, « et la preuve de la renaissance de la Russie en restaurant ses palais, édifices et maisons anciennes« .
Renseignements pour les visites :
au bureau d'excursion de l'Etat Complex
"Palais des Congrès" par téléphone: (812) 438-53-60. Les visites guidées par petits groupes
ont débuté à partir du 5 juin.
Se déplacer dans le parc, à côté du palais des Congrès, n'est autorisée que dans des véhicules spéciaux - Rapellons que le Palais Constantin
est la propriétée du Bureau des affaires présidentielles de
la Fédération de Russie et sert de lieu pour les sommets internationaux.
http://artcorusse.org/?s=narichkine
Serguei Vinogradov
Peintre russe (1869-1938) - des bleus magnifiques
Sergueï Arsenievitch Vinogradov (en russe : Сергей Арсеньевич Виноградов), né le 13 juillet (1er juillet) 1869 au village de Bolchye Soli (gouvernement de Kostroma) et mort le 5 février 1938 à Riga, est un peintre russe.
Il étudie de 1880 à 1889 à l'école de peinture, de sculpture et d'architecture de Moscou, notamment dans la classe d'Eugraphe Sorokine, de Vladimir Makovski et de Vassili Polenov, ainsi que d'Illarion Prianichnikov.
De 1898 à 1913, il enseignera à l'académie Stroganov de Moscou. Il est nommé académicien en 1912 et membre effectif de l'académie en 1916. Sergueï va exposer ses œuvres en Allemagne, en France, ainsi qu'aux États-Unis. Il rencontrera un joli succès.
Le peintre aimait particulièrement les couleurs claires afin de créer des ambiances reposantes.
Il reçoit son statut d'artiste en 1888. Il étudie en 1889 à l'atelier de
Boris Willewalde et à celui de Carl Wenig
à l'académie des beaux-arts de Saint-Pétersbourg
et devient membre de la compagnie des peintres ambulants.
Il est cofondateur en 1903 de la Société des artistes russes.
De 1898 à 1913, il enseigne à l'académie Stroganov de Moscou.
Il est nommé académicien en 1912 et membre effectif de l'académie en 1916.
Il est l'auteur de plusieurs affiches de secours et pour la Croix-Rouge russe pendant la guerre.
Il parvient à émigrer dans les années 1920 en Lettonie, où il se met à enseigner, et meurt à Riga en 1938.
Il expose personnellement à Düsseldorf (1904), Paris (1906), Berlin (1907), Munich (1909 et 1913), Prague (1914), New York (1924) et Riga (1925, 1935, 1936, 1937).
Painting "Beggars" of Russian artist S.A.Vinogradov
Sergueï Vinogradov, de son nom complet Sergueï Arsenievitch Vinogradov (1869-1938), est un peintre russe.
Il va étudier de 1880 à 1889 à l'école de peinture, de sculpture et d'architecture de Moscou. Il reçoit son statut d'artiste en 1888.
Afin de parfaire sa technique, Sergueï va ensuite étudier à l'atelier de Boris Willewalde et à celui de Carl Wenig à l'académie des beaux-arts de Saint-Pétersbourg.
Il devient membre de la compagnie des peintres ambulants et va cofonder en 1903 la Société des artistes russes.
Sergueï Vinogradov va peindre de magnifiques scènes d'intérieur ainsi que des paysages.